(extrait d'un article paru sur le blog de Zek II, repris par France Echos)
Quelle plus belle illustration de l'idée de Finkielkraut que cette nouvelle :
Trois mille euros d'amende dont mille avec sursis et l'obligation de suivre un stage de citoyenneté ont été requis mercredi contre la gérante d'un salon de coiffure de Châteaubriand (Loire-Atlantique), accusée d'avoir refusé à deux reprises d'employer une jeune femme titulaire d'un CAP coiffure parce qu'elle était noire.
La prophétie de Finkielkraut se réalise presque littéralement. Nous avons déjà des camps de rééducation psychiatriques. Du jamais vu. La marque même des pires régimes totalitaires. Mais l'idéologie du métissage obligatoire au nom du bien absolu est tellement forte qu'aucune voix n'ose s'élever pour dire que de telles atteintes à la liberté sont infiniment plus scandaleuses que le fait pour un particulier de ne pas vouloir embaucher un Noir ou un Arabe.
Assez de cet anti-racisme qui n'est que le recyclage d'idées marxistes sur fond de culpabilisation permanente et de détestation pour la liberté individuelle !
Assez que l'Etat se mêle des critères de recrutement dans une entreprise privée, assez que l'Etat impose de force un brassage ethno-culturel dans notre pays, assez que ce qu'on appelle "racisme" ne fonctionne que dans un sens !
Le bloc-notes de notre ami Yvan Rioufol reprend d'ailleurs cette thématique dans le figaro du 30 juin 2006.
Vive la liberté, vive la Révolution bleue !