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20 mars 2007 2 20 /03 /mars /2007 13:57

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16 mars 2007 5 16 /03 /mars /2007 18:19

Donnez ici votre intention de vote.

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16 mars 2007 5 16 /03 /mars /2007 14:48

Le silence est d’or. Telle est la devise à peine dissimulée des candidats à l’élection présidentielle. Oh, certes ils parlent. Et d’abondance. Mais surtout pas de ce qui pourrait fâcher. On ne saurait imaginer pire dérèglement de la démocratie. Celle-ci ne peut fonctionner que si les échéances électorales sont le moment des grands choix collectifs. A ne pas vouloir les faire, on se condamne à voir les problèmes surgir au moment où personne ne les attend et où nul n’est armé pour les résoudre. C’est évidemment ce qui va se passer en France, dès l’élection présidentielle accomplie et quel qu’en soit le vainqueur.

Les lois de la République, issues de la transposition des directives européennes votées à Bruxelles par les divers gouvernements français, permettent non seulement de s’assurer pour la maladie auprès d’une société privée, mais aussi de souscrire, dans les mêmes conditions, une retraite par capitalisation en lieu et place de la répartition, que condamne la démographie puisqu’on va vers une situation où il n’y aura plus qu’un cotisant pour un retraité ! Qui vous le dit ? Et pourtant les candidats le savent tous. Où est leur civisme, leur sens des responsabilités, leur honnêteté tout simplement ?

Et où sont les journalistes qui tentent d’informer leurs lecteurs ? Bien sûr, il y en a quelques-uns, qui sont l’honneur de leur profession. Mais pourquoi leurs confrères ne reprennent-ils pas ces informations ? Etrange vraiment, ce peuple français qui ne peut plus compter sur ses représentants politiques ni sur ceux qui sont chargés de l’informer, qui le sait parfaitement – car sinon il ne manifesterait pas un tel rejet des politiciens et des médias du système – et qui finalement se fait une raison, comme s’il n’y avait rien à faire.

Et c’est là que les commentateurs ont tout faux. Car ils interprètent cette apathie comme un état définitif. Or il suffira d’un résultat inattendu à l’élection présidentielle – et il semble bien qu’on s’y achemine – pour que s’ouvrent les vannes de la révolte. Trop longtemps contenue et inexprimée, celle-ci renversera tout. D’autant que le bouleversement du système social est en cours, initié par une avant-garde de combattants de la liberté qui sont en train d’ouvrir dans notre mur de Berlin à nous la brèche par laquelle s’engouffrera demain tout un peuple.

A la vérité, nous sommes au moment où le système se cherche un réformateur pour survivre sans changer l’essentiel. En Union soviétique, ce fut Gorbatchev. En France, c’est Bayrou. Après Gorbatchev, il y eut Eltsine, et avec lui le système disparut. Il en ira de même avec Bayrou s’il est élu. Le vrai réformateur viendra ensuite.

Tout se passe comme si la France ne pouvait pas sortir du communisme qui l’étouffe depuis la Libération sans passer par une sorte de quarantaine politique, un sas de décontamination ou, si l’on préfère, un purgatoire. Un peu de patience mes amis, l’heure de vérité est proche. Mais surtout que personne ne s’endorme. Il y a des grands soirs qu’il ne faut surtout pas manquer.

Claude Reichman
Porte-parole de la Révolution bleue

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13 mars 2007 2 13 /03 /mars /2007 21:59

Sujets traités : Le renoncement de Jacques Chirac, la percée de François Bayrou, le vide de la campagne présidentielle, la réforme de France Soir.

Nouveau : vous pouvez commander ici les DVD des émissions.

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12 mars 2007 1 12 /03 /mars /2007 14:54
 
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9 mars 2007 5 09 /03 /mars /2007 13:07

Mon idée est que si la classe politicienne avait un temps effectivement songé à écarter Jean-Marie Le Pen de la course à l'Elysée, et ce dès la fin d'année dernière où on parlait beaucoup de la possibilité d'un nouveau 21 avril, la donne a peut-être changé. Aujourd'hui la candidature Le Pen pourrait être sauvée par... Bayrou qui brouille le jeu.

En effet, imaginons un 1er tour sans Jean-Marie Le Pen... Le 1er tour serait alors vraisemblablement un jeu à 3 avec Royal, Bayrou et Sarkozy. On sait que dans une élection, encore plus dans une présidentielle, l'image des candidats est primordiale. Le discours de Jean-Marie Le Pen permet à Sarkozy d'apparaître plus "modéré". Le Pen absent, c'est Sarkozy qui sera le candidat connoté le plus à droite (si l'on excepte Philippe de Villiers qui ne pèse pas très lourd dans cette élection et qui n'est d'ailleurs pas certain non plus d'obtenir ses 500 signatures) et il subira de plein fouet les attaques de ses 2 principaux adversaires. Le costume du candidat le plus "modéré" ira naturellement à Bayrou qui sait parfaitement jouer ce jeu pour l'instant. En l'absence de Jean-Marie Le Pen, Bayrou aurait également au moins 2 autres raisons de progresser davantage : premièrement, il pourra récupérer, plus que Sarkozy, une partie des voix destinées à Jean-Marie Le Pen, et deuxièmement, les électeurs traditionnellement "de gauche" encore "traumatisés par le 21 avril" seront moins poussés à "voter utile" et pourront se laisser tenter par Bayrou qui représentera même au contraire le vote utile pour battre Sarkozy si Ségolène Royal venait à perdre encore du terrain sur Sarkozy.

Sans même évoquer, comme le font actuellement les grands médias, le fait que si Le Pen peut se présenter, un meilleur report (et je pense que c'est vrai) au second tour des voix de celui-ci (à condition qu'il n'y soit pas lui-même) sur Sarkozy (à condition qu'il y soit) se fera, je pense que Sarkozy a plus de chance de se sortir d'un jeu à 4 que d'un jeu à 3 et a donc intérêt à favoriser une candidature Le Pen même si ça risque d'être pour lui à double tranchant. Comme il a intérêt aussi à favoriser une candidature Besancenot pour mettre une épine dans le pied de Ségolène Royal, même si cela risque aussi d'être à double tranchant car ce petit jeu pourrait aider Bayrou à accéder au second tour. En fait, ce que Sarkozy peut rêver de mieux, est de se retrouver au second tour face à Jean-Marie Le Pen.

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2 mars 2007 5 02 /03 /mars /2007 21:17

Avec les restructurations chez Airbus, le thème économico-social débarque pour de bon dans la campagne présidentielle. Aux discours démagogiques des candidats, opposons le bon sens de Frédéric Bastiat :

Dans la sphère économique, un acte, une habitude, une institution, une loi n'engendrent pas seulement un effet, mais une série d'effets. De ces effets, le premier seul est immédiat ; il se manifeste simultanément avec sa cause, on le voit. Les autres ne se déroulent que successivement, on ne les voit pas; heureux si on les prévoit.

Entre un mauvais et un bon Économiste, voici toute la différence : l'un s'en tient à l'effet visible; l'autre tient compte et de l'effet qu'on voit et de ceux qu'il faut prévoir.

Mais cette différence est énorme, car il arrive presque toujours que, lorsque la conséquence immédiate est favorable, les conséquences ultérieures sont funestes, et vice versa. — D'où il suit que le mauvais Économiste poursuit un petit bien actuel qui sera suivi d'un grand mal à venir, tandis que le vrai économiste poursuit un grand bien à venir, au risque d'une petit mal actuel.

Du reste, il en est ainsi en hygiène, en morale. Souvent, plus le premier fruit d'une habitude est doux, plus les autres sont amers. Témoin: la débauche, la paresse, la prodigalité. Lors donc qu'un homme, frappé de l'effet qu'on voit, n'a pas encore appris à discerner ceux qu'on ne voit pas, il s'abandonne à des habitudes funestes, non-seulement par penchant, mais par calcul.

Ceci explique l'évolution fatalement douloureuse de l'humanité. L'ignorance entoure son berceau; donc elle se détermine dans ses actes par leurs premières conséquences, les seules, à son origine, qu'elle puisse voir. Ce n'est qu'à la longue qu'elle apprend à tenir compte des autres. Deux maîtres, bien divers, lui enseignent cette leçon: l'Expérience et la Prévoyance. L'expérience régente efficacement mais brutalement. Elle nous instruit de tous les effets d'un acte en nous les faisant ressentir, et nous ne pouvons manquer de finir par savoir que le feu brûle, à force de nous brûler. À ce rude docteur, j'en voudrais, autant que possible, substituer un plus doux: la Prévoyance. C'est pourquoi je rechercherai les conséquences de quelques phénomènes économiques, opposant à celles qu'on voit celles qu'on ne voit pas.

Lire la suite ici

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2 mars 2007 5 02 /03 /mars /2007 15:04

A visionner évidemment sur REICHMANTV !

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27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 16:34

" Vous n'êtes pas un problème mais une partie de la solution à nos problèmes. "

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27 février 2007 2 27 /02 /février /2007 16:19

Vous connaissiez normalement déjà celui-ci :

  

En voici un autre, toujours du même auteur :

 

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