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24 mars 2006 5 24 /03 /mars /2006 13:08
 
A tous les citoyens qui en ont assez des blocages des universités et maintenant des transports ! A tous les citoyens qui en ont ras-le-bol du gouvernement des syndicats !
 

Dimanche 26 mars, 15h00

Place de l'Hôtel de Ville à Paris

 

 

 

Liberté Chérie, S.O.S. Education, Halte au blocage, SOS facs bloquées, Stop aux blocages, et diverses associations de citoyens organisent une manifestation pacifique pour dire leur exaspération devant les blocages :

Voilà des semaines et des semaines que l'Education Nationale que nous finançons tous par nos impôts est bloquée par des jeunes manipulés !

Et voilà maintenant la SNCF, la RATP et La Poste qui décident un blocage général le 28 mars alors que ceux-ci ne sont pas concernés par le CPE ! On croit rêver !

 

 

C'est le moment de montrer aux syndicats que nous refusons la paralysie générale avant que ceux-ci l'instaurent ! C'est le moment de faire entendre notre voix !

Quelle que soit la position de chacun sur la politique du gouvernement, il est inacceptable d'user de la violence et des blocages pour empêcher les honnêtes citoyens d'aller à leur cours, à leur travail, ou tout simplement de pouvoir circuler librement.

Rejoignez-nous dimanche pour dénoncer ces attitudes honteuses et surtout faites circuler cette information à tous vos amis, parents et collègues par e-mail afin que nous soyons les plus nombreux à exprimer notre ras-le-bol dimanche.

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22 mars 2006 3 22 /03 /mars /2006 18:58

Au gouvernement, ce sont Villepin et Sarkozy qui jouent à celui qui paraîtra le plus ferme, le premier dans le maintien de sa réformette (CPE) et le second avec, comme d’habitude, un semblant discours de fermeté face aux agressions physiques violentes envers les forces de l’ordre, face à l’occupation et aux dégradations de biens publics et privés, faces aux scènes de pillages et de racket… Le climat est très insurrectionnel et il ne manque que le prétexte de la mort d’un « jeune issu de l’immigration » (voulant m’épargner un procès du MRAP ou autre officine bien-pensante, je vous laisse traduire l’expression en langage moins diplomatique) lors de ces scènes de guérilla urbaine pour déclencher instantanément une nouvelle vague d’émeutes baulieusardes qui reprendront de façon certaine tôt ou tard.

A l’assemblée nationale, ce sont les parlementaires UMP Jean-Marc Roubaud et Eric Raoult qui se disputent le prix de la dhimmitude, présentant  chacun une proposition de loi visant à interdire le blasphème suite à la parution des caricatures de Mahomet qui ont dénigré cette belle religion d’amour de tolérance et de paix (je veux m’épargner un procès vous ai-je dit).

Et notre cher dictateur aux 82 % (pas celui de Biélorussie, le nôtre !) me direz vous… ? Lui aussi n’est évidemment pas en reste. Ca fait près de 50 ans qu’il s’acharne, avec beaucoup de talent, à enterrer notre pays et il compte bien continuer !

Ainsi va la France…

A quand une droite volontaire pour mener de vraies réformes libérales (oh le gros mot !), pour rétablir l’ordre public outrageusement troublé par la chienlit gauchiste trop souvent dans une impunité révoltante, pour combattre l’inacceptable islamisation de notre patrie où nous désirons simplement vivre en paix ???

La Révolution bleue s’impose plus que jamais !

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20 mars 2006 1 20 /03 /mars /2006 19:46

De 14h00 à16h00 place de la Sorbonne : contre-manifestation pour dire « Stop au blocage des Universités ! »

De 18h00 à 21h00 à l’écoute de Radio courtoisie pour le libre journal de Claude Reichman.

(Rediffusion le mercredi 22 mars de 2h00 à 5h00 et de 7h30 à 10h30)

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20 mars 2006 1 20 /03 /mars /2006 16:03

Si le temps fait son œuvre, la mémoire, elle, oppose sa résistance. Quatre-vingt-dix ans après, la plupart des témoins du génocide arménien de 1915 se sont éteints. Mais leur mémoire subsiste, à travers leurs écrits, pour que le monde n'oublie pas et ne se taise pas.

Je vous propose un court extrait du livre d’Annick Asso, Le cantique des larmes, reçue dans l’émission du 7 février de Claude Reichman sur Radio Courtoisie :

À Arabkir, tout le quartier arménien était en ruines : partout des cadavres qui dégageaient une odeur insupportable ! La majeure partie de la population avait été massacrée dans l'église où les Turcs les avaient préalablement réunis. Leurs lamentations, leurs cris de douleur s'étaient élevés jusqu'aux cieux, mais les coeurs endurcis de leurs bourreaux étaient restés inexorables. Ces martyrs laissaient ces mots à l'humanité qui leur survivait: "On nous écorche, on nous crève les yeux, on nous arrache la langue avec des tenailles, on nous tue en enfonçant des barres de fer rougies dans notre corps. Vous qui vivez, hommes ou femmes, vengez nous ! "

Et je vous propose un court extrait de ce qu’ont honteusement scandé des centaines d’immigrés turcs, protégés par nos forces de l’ordre, à Lyon ce samedi 18 mars lors d’une manifestation tout à fait autorisée par la préfecture pour protester contre un projet de mémorial du génocide arménien :

«Il n'y a jamais eu de génocide arménien

Honte à ces manifestants et honte aux décideurs politiques qui ont permis cette insulte au peuple arménien sur notre sol !!!

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19 mars 2006 7 19 /03 /mars /2006 20:03

L'affaire du contrat première embauche (CPE) est la pire qui pouvait arriver à la France au moment où elle doit impérativement se réformer pour ne pas sombrer. Voilà une partie de la jeunesse et les syndicats dans la rue … pour rien ! La flexibilité des conditions d'embauche ne peut être un atout qu'en cas de reprise économique. Les employeurs frileux, qui craignent que l'activité ne reste pas soutenue très longtemps, peuvent être encouragés à engager des salariés s'ils ont la possibilité de s'en séparer sans trop de difficultés en cas de rechute. Mais il existe le contrat à durée déterminée (CDD) et l'on ne voit pas ce que le contrat première embauche lui ajoute de déterminant.

En réalité, le CPE est un machin politicien imaginé par Villepin pour se donner une image de réformateur, faire pièce à Sarkozy et obliger l'électorat de droite à le soutenir contre la mobilisation de la gauche. Et il faut dire qu'une bonne partie de la droite a sauté à pieds joints dans le piège. Bien sûr, le blocage des universités est inadmissible, mais faut-il se mobiliser pour défendre un projet qui non seulement n'apporte aucune solution à la crise économique, mais qui aussi tend à faire croire à l'opinion que le gouvernement agit en faveur de l'emploi, alors qu'il le massacre par son immobilisme dans la gestion des dépenses publiques et dans la réforme sociale ?

On ne peut qu'être extrêmement sévère à l'égard du gouvernement. Il ne travaille qu'en vue de l'élection présidentielle et n'a aucun sens de l'intérêt national. Celui-ci exige que les Français s'unissent autour d'un projet de réforme cohérent et crédible. En leur temps et dans leur pays, Ronald Reagan et Margaret Thatcher y étaient parvenus. Il est vrai qu'ils n'étaient, l'un et l'autre, ni issus d'une école d'administration, ni ignorants des réalités que vit le peuple quotidiennement. Il ne se passe pas de jour en France, actuellement, sans que ne paraisse un livre qui nous annonce la faillite de l'Etat et l'imminence d'une révolution. Et pendant ce temps la presse continue de tartiner sur les faits et gestes des marquis poudrés qui nous gouvernent, la radio de recueillir leurs moindres propos, et la télévision de filmer leurs moindres faits et gestes. Etonnez-vous après cela que les Français soient désemparés et ne sachent plus à quel saint se vouer !

Evidemment, les syndicats qui ont battu le pavé le 18 mars dernier sont, avec les politiciens du système, les principaux responsables du désastre français. Ils ne regroupent en effet que des salariés de la fonction publique qui vivent de l'Etat et en rendent le coût insupportable. Et l'on ne peut qu'être plein de commisération pour ceux des jeunes gens et des jeunes filles qui leur ont emboîté le pas : ils ont manifesté avec les privilégiés qui les empêchent de trouver un emploi, puisque les dépenses publiques assassinent les entreprises. Pauvre jeunesse française : tout le monde s'acharne à la tromper et à la malmener. Ont-ils mérité pareil sort, ces beaux jeunes gens et ces belles jeunes filles qui sont l'avenir de notre pays, qui s'expriment si bien, même quand ils se trompent, et dans lesquels chaque adulte peut reconnaître ses enfants ou ses petits-enfants ? Non, bien sûr. Et c'est ce qui est criminel dans l'attitude de ceux qui font semblant de s'affronter aujourd'hui, politiciens gavés d'honneurs et d'argent, syndicalistes ayant perdu tout souvenir du travail, et pour qui les problèmes et le sort de la jeunesse ne sont qu'un enjeu de pouvoir et donc de maintien de leur vie dorée.

Oui, nous avons eu raison de lancer la Révolution bleue. C'est elle qui est dans le vrai : Non à la chienlit, non au trop plein d'impôts et de charges, non aux politiciens incapables! C'est désormais la seule solution pour éviter la faillite et la guerre civile. Nous avons manifesté trois fois, avec un succès régulièrement accru. La prochaine date est le samedi 22 avril. Nous serons encore plus nombreux. Parce que les Français commencent enfin à comprendre que les politiciens du système, tout comme le système lui-même, n'ont pas d'autre ambition que de se gaver à leurs dépens. Et qu'il est temps de leur dire une fois pour toutes que cela suffit !

Claude Reichman
Porte-parole de la Révolution bleue.

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19 mars 2006 7 19 /03 /mars /2006 12:29

 

Imaginez une Formule 1 avec un moteur de tondeuse à gazon. C’est schématiquement la situation économique de la France aujourd’hui. Et le CPE est à la France ce qu’un 2ème moteur de tondeuse à gazon serait à cette Formule 1. C'est-à-dire peu de chose…

Et c’est ce « peu de chose » qui entraîne aujourd’hui un déchaînement de violence inacceptable d’une partie de la jeunesse encouragée par la gauche et l’extrême-gauche, qui n’est pas sans rappeler le climat des émeutes de banlieue en novembre dernier, procédant de la même filiation idéologique socialo-communiste enfermant de façon immuable, le riche/le pauvre, l’employeur/l’employé, dans une relation d'inégalité fondamentale.

 

Toutes les conditions pour une crise de régime sont alors réunies, à savoir la présence d’énormes problèmes à régler (immigration, compétitivité économique…), de puissantes forces hostiles à tout changement, et un gouvernement faible.

 

Car, soyons réalistes : ce gouvernement n’est pas un gouvernement réformateur. Il s’oppose, au mépris des lois nationales et européennes, à la mise en concurrence de la Sécurité sociale ; il s’accroche à l’inique système des retraites par répartition ; il n’ose revenir efficacement sur les 35 heures ; il n’enraye pas l’augmentation constante du SMIC et des charges…

 

Dans ce contexte, les 3 mots d’ordre de la Révolution bleue sonnent parfaitement juste :

Non à la chienlit !
Non au trop plein d'impôts et de charges !
Non aux politiciens incapables !

Il nous reste maintenant à trouver notre Ronald Reagan ou notre Margaret Thatcher qui puisse porter l’espoir d’un retour de sérénité et de prospérité dans notre pays.

 

Vive la Révolution bleue, vive la France !

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17 mars 2006 5 17 /03 /mars /2006 19:31

A l'initiative de l'association amie Liberté Chérie,

Mardi 21 mars à 14h
Place de la Sorbonne à Paris
Contre manifestation pour dire

Stop au blocage des Universités !

L'école est l'affaire de tous : lycéens, étudiants, professeurs, parents d'élèves et contribuables. Nous réunirons donc toutes les personnes pénalisées par la situation actuelle pour dire :

- NON au blocage des facs ! Chaque étudiant doit pouvoir suivre ses cours normalement, et travailler pour ses examens et sa réussite professionnelle future.

- NON à la manipulation par les syndicats ! Les assemblées générales telles qu'elles se pratiquent sont de véritables fumisteries : à de rares exceptions près, seuls les étudiants favorables aux blocages sont autorisés à s'exprimer. Le vote à main levée ne permet pas une saine expression des volontés de chacun.

- OUI à la liberté de manifester, mais dans le respect de la liberté d'autrui ! Si l’on doit certes pouvoir manifester librement, on doit accepter que d’autres souhaitent étudier. De tels blocages sont la marque d' une profonde intolérance.

- OUI à une réforme de l'Education nationale ! Une éducation qui répond aux besoins et aux attentes de chacun est la meilleure garantie d'une insertion professionnelle réussie. Stop au collège unique ! Stop à la carte scolaire !  Autonomie, décentralisation, individualisation des parcours…voilà ce qu’il nous faut ! 

A l’appel à manifester «CONTRE les blocages et POUR les réformes», LIBERTE CHERIE a mobilisé 80.000 personnes dans la rue à Paris, en juin 2003. Elle a également mobilisé plus de 2000 personnes à Marseille en novembre 2005 pour demander la fin des grèves à la RTM.

Pour cette manifestation, LIBERTE CHERIE fédérera l’association SOS Education et les collectifs SOS Facs Bloquées, Halte au blocage, STOP aux blocages des universités, Stop à la grève

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15 mars 2006 3 15 /03 /mars /2006 20:55

Claude Reichman anime une émission sur Radio courtoisie 1 mardi soir sur 2 de 18h00 à 21h00 (rediffusée le lendemain de 2h00 à 5h00 et de 7h30 à 10h30).

Ecoutez et/ou téléchargez les émissions :

http://revolutionbleue.ifrance.com

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15 mars 2006 3 15 /03 /mars /2006 14:27

Devant le nombre croissant de nos compatriotes qui découvrent la Révolution bleue et devant encore beaucoup d'interrogations, je pense qu'il est bon de rappeler l'article de Claude Reichman du 26 novembre 2005 qui lance officiellement la Révolution bleue :


Pourquoi la Révolution bleue ? Parce que la situation politique française est complètement bloquée et qu'il appartient désormais au peuple de se faire entendre.

Les politiciens ne sont ni aveugles ni sourds. Mais ils ne voient et n'entendent que ce qu'ils veulent bien. Et comme les médias sont défaillants, rien ne vient les détromper, sinon de temps à autre le résultat d'une élection, qu'ils s'empressent d'oublier afin de préparer la suivante.

Le système politico-médiatique est si bien verrouillé qu'aucune force politique nouvelle ne peut apparaître. De ce fait, le mécontentement et la colère ne peuvent plus emprunter d'autre canal que le désespoir démocratique, qui se manifeste par une abstention massive aux élections, ou bien la violence, qui perturbe gravement la vie des Français et dont l'enchaînement peut conduire au pire, c'est-à-dire à la guerre civile.

L'immense majorité des citoyens n'aspire qu'à travailler et à vivre en paix. C'est devenu aujourd'hui impossible pour un nombre sans cesse croissant d'entre eux, qui sont confrontés au chômage et à l'insécurité.
Les socialistes et la droite parlementaire alternent au pouvoir depuis trente ans. Et pendant ces trente ans la situation du pays n'a cessé de se dégrader pour aboutir à la catastrophe actuelle. Ce dramatique échec tient au fait que ces deux camps font à peu près la même politique. Et tout indique que cette fausse alternance va se poursuivre. En 2007 les Français ne pourront élire qu'un président et une majorité parlementaire socialistes ou UMP. Autrement dit, rien ne changera !

Dans ces conditions, l'explosion est certaine, et rien ne dit d'ailleurs qu'elle ne se produira pas avant les prochaines échéances électorales.
C'est pourquoi il est urgent d'agir. Les Français exaspérés doivent se montrer et se faire entendre. Le moyen que nous proposons a obtenu des résultats en Ukraine, avec la Révolution orange, et en obtient régulièrement au Japon, où les salariés, plutôt que de se lancer dans des grèves qui leur nuisent tout autant qu'à leurs employeurs, arborent un brassard en signe de mécontentement.

Trois thèmes sont susceptibles de rallier une majorité de Français :

Non à la chienlit !
Non au trop plein d'impôts et de charges !
Non aux politiciens incapables !

Ils constituent désormais la revendication de la Révolution bleue.

Pour la faire aboutir, nous demandons aux Françaises et aux Français de porter une écharpe bleue en signe de soutien et de reconnaissance.
Au cours des prochaines semaines, nous inviterons tous ceux qui se reconnaissent dans la Révolution bleue et en portent le signe à se réunir pacifiquement et régulièrement en divers endroits de nos cités et de nos villages afin de se connaître et de se compter. Les rangs de la Révolution bleue ne cesseront de grossir jusqu'au succès final.

Et les partis politiques dans tout cela ? Ils peuvent évidemment souscrire à la Révolution bleue s'ils en partagent les objectifs. La Révolution bleue n'est en aucun cas un parti politique de plus et elle n'entend absolument pas entrer en concurrence avec les formations existantes. C'est à ces dernières et à elles seules qu'il appartient de faire connaître les moyens qu'elles entendent mettre en œuvre pour faire aboutir les trois objectifs de la Révolution bleue. Et c'est aux électeurs qu'il appartiendra de voter pour les partis politiques et pour les candidats aux élections qui leur paraîtront les plus crédibles.

La Révolution bleue veut épargner à la France le désastre que constituerait une guerre civile. Alors, tous ensemble, portons l'écharpe bleue, couleur de la France et image d'un ciel sans nuages.

Claude Reichman
Porte-parole de la Révolution bleue

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14 mars 2006 2 14 /03 /mars /2006 11:49

J’ai lu dans mes mails, sur ce blog et sur des sites amis, des dizaines de réactions concernant la manifestation du 11 mars. Souvent le même constat : succès à Paris mais trop peu de personnes dans les rassemblements en Province.

Ceci nous montre l’ampleur de notre combat mais nous ne baisserons pas les bras !

Pour réussir une manifestation, il faut réunir 2 conditions auxquelles nous devons nous attacher : que les gens soient informés et qu’ils décident de venir.

Comment informer ? Par Radio courtoisie et par les sites résistants soutenant la Révolution bleue, ce qui touche aujourd’hui au maximum quelques dizaines de milliers de personnes à travers notre pays. C’est peu. Mais il existe un moyen qui permet d’augmenter ce nombre de façon exponentielle : c’est tout simplement que les personnes informées informent les autres. Par le bouche à oreille, par des campagnes d’affichage, par du tractage… A chacun de participer !

L’information est une condition nécessaire mais pas suffisante. Les personnes informées doivent, au delà de quelques différences éventuelles, se reconnaître globalement dans nos idées  (et là elles sont potentiellement très nombreuses !) et faire la démarche de manifester. C’est là que pour l’instant malheureusement des réticences s’observent : pas l’habitude, résignation, peurs (sans doute majorées en Province du fait de l’absence d’organisation), rugby à la télévision, temps froid…

Mais la Révolution bleue n'en est qu'à ses débuts et nous devons rester optimistes pour la suite de notre mouvement qui représente la colère mais surtout l'espoir du peuple français.

Vive la Révolution bleue, vive la France et tous les Français qui se mettent en marche !

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